Les voitures automobiles anciennes et les véhicule anciens de collection, v2.
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Triumph TR7, voiture routière de 1975
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La Triumph TR7, cette ancienne voiture automobile Coupé et Cabriolet de sport fut construite en 1975.
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Triumph TR7, Années de production 1975 à 1981 coupés : 112 368 dont export : 65 639 cabriolets : 28 864 dont export : 19 571 1 Total : 141 232 exemplaires, Classe Voiture de sport, Énergie Essence, Moteur 4 cylindres en ligne et V8, Position du moteur Avant, Cylindrée 1 998 cm3, Puissance maximale 105 et 127 ch, Transmission Propulsion, Boîte de vitesses 4 et 5 vitesses manuelles ou 3 vitesses automatiques, Poids à vide 1 001-1 060 kg, Vitesse maximale 177 km/h, Carrosserie Coupé 2 portes, Cabriolet 2 portes, Freins Freins à disque avant.
La Triumph TR7 est une voiture de sport construite de janvier 1975 à octobre 1981 par Triumph Motor Company.
À l'origine, la production se fait à Speke dans une usine de Liverpool, puis en 1978, la production déménage à Canley (en) à Coventry pour finalement atterrir dans l'usine de Rover à Solihull en 1980.
La voiture est lancée aux États-Unis en janvier 1975, et en mai 1976 pour le marché britannique.
Avec plus de 140 000 exemplaires produits en six ans, la TR7 / TR8 sera la Triumph TR qui connaîtra le plus grand succès.
Elle sera aussi la dernière voiture sportive de la marque.
Harris Mann, qui a fait ses débuts chez Austin Morris, est le styliste de la carrosserie de la TR7.
La production de la TR7 fut lancée en septembre 1974.
Elle fut d'abord commercialisée sur le marché américain, en janvier 1975. La TR7 est née sous le signe de la différence, ce qui fait son charme, mais elle sera aussi très critiquée pour son design dit « en coin ».
Durant sa phase de développement, le projet de la TR7 se nommait « Bullet ».
La TR7 fut lancée en Europe en mai 1976.
Du fait de la forte demande sur le marché américain, le lancement du modèle en Europe a été reporté deux fois.
Contrairement aux autres TR, sa conception est monocoque (châssis plus coque), avec des phares rétractables, avec des arêtes vives et des dimensions généreuses (4,06 m de longueur et 1,57 m de large).
Autre différence par rapport à la TR6, plus de 6 cylindres mais un 4 cylindres 2 litres à boîte 4 rapports.
Les pneumatiques diffèrent aussi. Ce sont des 175/70/R13.
Le bois de l'habitacle des précédentes Triumph disparait au profit du plastique.
Toutes ces évolutions devaient permettre à la TR7 de mieux pénétrer le marché américain.
Mais les conflits sociaux entre Triumph et ses employés eurent des répercussions sur la qualité de la production de la TR7 et sur l'image de Triumph. En 1978, Triumph décida de délocaliser la production de Liverpool vers Canley (en) à Coventry.
Cela eut pour conséquence de revenir aux standards de qualité de la marque Triumph pour la production de la TR7.
Pour répondre aux critiques, Triumph décida de chausser la voiture de 185/70/R13 et de lui donner une boîte de 5 rapports.
Malgré cela, le modèle connaissait des difficultés commerciales.
Triumph fit alors appel à Giovanni Michelotti pour sortir en 1979 une version cabriolet de la TR7.
Le modèle fut salué par la critique pour son style, nettement plus réussi que celui du coupé.
La première version cabriolet de la TR7 sortit en juillet 1979 aux Etats-Unis sous le nom de TR7 Drophead.
Le modèle sera lancé sur le marché britannique en mars 1980. la TR7 cabriolet est vendue au prix de 5 050 £ et la coupé au prix de 5 230 £.
British Leyland possédait une équipe de TR7, qui sévit en rallye de 1976 à 1980.
Ces voitures utilisaient le moteur 16 soupapes de la Dolomite Sprint ou le V8 3,5 litres de Rover, ainsi que des freins à disque aux quatre roues.
Une version grand public pour le marché américain fut lancée en juin 1980 avec des caractéristiques de la TR7, mais avec le moteur V8 ; soit la TR8.
Cette version avait des freins à tambours plus gros que sur ceux de la TR7 à l'arrière.
La TR8 eut de bons résultats sur le tarmac mais pas sur les sections off.
Le modèle fut un échec commercial. Moins de 3 000 exemplaires furent commercialisés.
En août 1980, la production cessa à Canley et fut transférée à l'usine Rover de Solihull.
Dans le cadre d'une rationalisation entamée par le patron de British Leyland, Sir Michael Edwardes (en), la production de la TR7 fut stoppée le 5 octobre 1981.
Le modèle fut cependant commercialisé en Grande-Bretagne jusqu'au milieu de l'année 1982.
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Histoire Chronologique de l'ancienne marque automobile " Triumph ", Royaume Uni 1923 - 1983.
Cette célèbre firme de motocyclettes réalisa, en 1903, un tricar, mais les quatre roues ne furent pas présentes avant 1923, date à laquelle parut une voiture 4 cylindres 10/20, avec moteur Ricardo à soupapes latérales, la production commença dans l'usine précédemment occupée par Dawson.
En 1925, cette voiture fut remplacée par une 13/30, 1,9 litres, la première voiture anglaise à avoir des freins hydrauliques.
Ni cette voiture, ni la 15 CV qui lui succéda, ne firent grande impression, mais, en 1928, Triumph présenta la Super 7, à soupapes latérales, 832 cm3.
Elle fut réalisée en version sport, à compresseurs, et en petite conduite intérieure familiale de qualité supérieure dont la fabrication fut poursuivie jusqu'en 1933-1934.
Les moteurs diesel Coventry-Climax firent leur apparition dans la Super 9 de 1932, date à laquelle les berlines Triumph eurent des portes sans montant.
Ces voitures familiales étaient toujours fabriquées en 1934.
1935 vit la sortie d'une voiture 8 cylindres en ligne, avec compresseur, double arbre à cames en-tête, 2 litres, très semblable à une Alfa-Roméo, qui fut un échec.
En 1936, les départements automobile et bicyclette furent séparés et, à partir de 1937, les voitures devinrent plus lourdes.
A partir de l'été 1938, le catalogue ne comporta plus que des Dolomite, le plus petit modèle étant une voiture de faible encombrement, avec moteur 1,5 litres (en fait 1767 cm3) sur un empattement de 2,743 m.
Au cours de l'année 1939 parut une berline sport 12 CV de style classique.
Cinquante exemplaires seulement purent être réalisées, car la firme fut mise en faillite juste avant la Seconde Guerre mondiale.
Après l'arrêt de la fabrication de la berline Renault de 2,1 litres, à carrosserie en lame de couteau, au début de 1955, la TR fut l'élément essentiel de la gamme Triumph jusqu'au milieu de 1959.
En 1962, la TR4, avec sa carrosserie modifiée, un moteur 2,1 litres, une direction par crémaillère et pignon, une boîte de vitesses entièrement synchronisées, fit son apparition.
Elle fut dotée d'une suspension arrière indépendante et prit le nom de TR4A en 1965.
Triumph offrait également une conduite intérieure 6 cylindres 2 litres, 90 CV, la 2000, qui sortit en 1964.
En 1970, Triumph introduisit la Stag, une voiture sportive de luxe 2+2 équipée d'un moteur V8 de 3 litres, à double arbre à cames en-tête, de conception Triumph, développant 145 CV.
Dans la gamme 1971 figuraient la conduite intérieure Toledo 2 portes en remplacement de l'Herald.
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